Printemps 2053 – La lutte des classes
Fin de matinée, je fais réparer la roue de mon vélo. Après réparation, le gérant prend sa pause déjeuner. Nous mangeons ensemble.
Fin de matinée, je fais réparer la roue de mon vélo. Après réparation, le gérant prend sa pause déjeuner. Nous mangeons ensemble.
Dans l’entrée d’une auberge, posée sur le comptoir, une vieille radio diffuse de la musique.
Fin de marché, les clients sont partis et les commerçants commencent à ranger leurs marchandises. J’arrive juste à temps pour acheter de quoi déjeuner ce midi. La femme qui me vend le fromage porte de grandes boucles d’oreilles dorées. Elles ont la forme de feuilles.
Un petit restaurant en bord de route. Une baie vitrée donnant une voiture de collection. Un gérant passionné de mécanique.
Aux abords de la ville, un chantier. Une maison en bois se construit. Les ouvriers s’affairent. Je m’arrête le temps d’une pause. Un artisan se joint à moi. Une discussion commence.
Au cours du printemps 2053, j’ai parcouru la France à vélo dans le but de rencontrer des inconnus au gré de mon voyage et de recueillir leurs témoignages. Je pense que chacun de nous avons des histoires à raconter, des histoires personnelles qui finalement dévoilent bien plus de choses que ce qu’elles prétendent. Ces récits racontent une époque, des territoires, la complexité et la tendresse des relations humaines. À travers ce projet sur les routes de France, j’ai souhaité capter des témoignages de notre société.
Depuis 2032, la ville de Toulouse a banni la voiture de ses rues. En moins d’une décennie, cette commune de plus d’un demi-million d’habitants s’est métamorphosée. Je suis allée à la rencontre de la maire à l’origine de la transformation de Toulouse et de ses habitants.
Article théorique sur le design fiction. Qu’est-ce que le design fiction ? Quelles sont ses finalités ? Quels sont ses atouts ? Quelles sont ses limites ?
Le dernier zoo a fermé ses portes depuis plus de 10 ans, Animalium propose de les remplacer.
Ce Vendredi 23 Mai, au petit matin, la statue de Colbert située dans le square Joséphine Baker à Reims a été « restauré » par la municipalité.