Printemps 2053 – Les pieds dans l’eau
Une maison sur les hauteurs, la vue sur la mer. Une véranda nous protège du vent fort qui souffle en dehors.
Une maison sur les hauteurs, la vue sur la mer. Une véranda nous protège du vent fort qui souffle en dehors.
Un grand balcon filant, deux chaises et une table ronde. Dessus, de quoi faire un déjeuner plus que copieux. Le balcon donne sur une avenue vivante et arborée. Une femme attachante, espiègle et bavarde.
Un salon lumineux, sobrement habillé. Un sac à dos de voyage à moitié vide, un grand bureau débordant de plans et dessins.
Un petit magasin de centre-ville. Une devanture vitrée, les menuiseries peintes en bleu. Quelques achats et quelques conseils sur les produits proposés.
Une route abîmée. Une maison perdue au fond d’une impasse. Un ballon de foot envoyé par mégarde sur la route. Des enfants dans un jardin. Un homme arrosant son potager.
Un garage ouvert : des cordages, des voiles, des sacs étanches… Il déborde de matériel destiné au bateau à voile. Une personne s’affaire à trier et ranger le garage.
Des champs arborés, une ferme isolée. Je m’arrête pour demander de l’eau.
Le soleil est bas, la lumière orange colore les façades de la ville. Une femme assise à la terrasse d’un café m’aborde, mon vélo recouvert de bagages l’intrigue. Je me joins à elle et commande un café.
Dans la cuisine autour d’un repas. Une femme rencontré une heure plus tôt dans le parc de la place d’armes. Elle vit seule et je voyage seul, nous sommes tous deux d’humeur à partager un repas. Une page de journal sur un mur.
Une fenêtre ouverte, une belle odeur s’en dégage. Au travers d’une fenêtre, entre la cuisine et la rue, une discussion commence. Elle se poursuit dans la cuisine, un verre de Porto à la main.